1)
A la veille de nouvelles réunions essentielles cette fois ( ?) pour la Grèce et l’avenir de l’Europe
– et indépendamment de nouvelles infos d’ici demain matin -
, l’article ci-joint en attaché paraît particulièrement
important pour comprendre ce qui s’est passé cette semaine et ce qui se
passe encore d’ailleurs : une forme de « panique » bancaire organisée
ou amplifiée par les créanciers.
Un deuxième article excellent abonde dans le même sens, sous le lien ci-dessous :
Tout au long de la semaine, les créanciers et la BCE ont tout fait pour
déstabiliser les déposants grecs. Et placer le gouvernement grec devant
un choix impossible.
|
Des révélations très
intéressantes sinon stupéfiantes sur la façon dont se tiennent les
négociations au sein de l’eurogroupe sont apportées par l’article
suivant ci-dessous :
Very sadly, there is no agreement even on the process of getting to a
compromise, let alone what the compromise should look like. The
creditors expect the proposals ...
|
2)
Paul De Grauwe avait
bien exprimé son incompréhension du fait que de nombreux medias ont
endossé un rôle que les créanciers voulaient leur voir jouer. C’est
malheureusement encore une fois le cas pour un
journal comme le soir
avec ces deux editos parus cette semaine, de Maroun Labaki et de
Jurek Kuczkiewicz. :
A
trop fréquenter les couloirs de la Commission on finit pour par en
devenir un « embedded »,
une forme de compagnon de route a-critique. Heureusement, l’édito de
Dominique Berns, de l’équipe économique du Soir, envoyé en début de
semaine, se démarque radicalement de ceux-ci
Assez remarquable
d’ailleurs , cette position très convenue de deux éditorialiste du soir
n’est pas du tout partagée par celui de l’Echo :
Bien à tous
Marc Molitor
No comments:
Post a Comment